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C’est quoi la testostérone ? Définition, rôle et taux normal

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C’est quoi la testostérone ? Définition, rôle et taux normal

Dans certains cas il pourra recommander une thérapie de remplacement de la testostérone (TRT). Dans d’autres, il privilégiera des approches alternatives, notamment comment faire des injections de testostérone changements de mode de vie. ► Chez la femme, les valeurs normales du taux sanguin de testostérone sont 10 fois moins importantes que chez l’homme. Le dosage est fréquemment demandé pour les hommes ayant un pénis de petite taille ou quand la puberté ne se développe pas normalement, décrit le spécialiste. À ce jour, les études scientifiques se multiplient pour mieux connaître l’impact réel de la testostérone sur le cancer de la prostate. Un dosage de la testostérone peut être demandé chez la femme si elle présente une pilosité excessive à des endroits qui ne sont habituellement pas poilus. La testostérone est une hormone faisant partie du groupe d’hormones nommé androgène.

Une étude suggère cependant qu’il n’y aurait pas de corrélation significative entre la testostérone et le désir sexuel (libido) chez l’homme mais une corrélation entre fréquence de masturbation et désir sexuel. Dans cette même étude, on a observé que les femmes possédant un fort taux de testostérone sont moins intéressées par le sexe que les autres, mais sont davantage intéressées par la masturbation[40]. La testostérone est une hormone stéroïdienne, du groupe des androgènes. Chez les mammifères, la testostérone est sécrétée essentiellement par les gonades, c’est-à-dire les testicules des mâles et, à un moindre degré, les ovaires des femelles. C’est la principale hormone sexuelle mâle et un stéroïde anabolisant.

On a auparavant noté le taux de testostérone des sujets par analyse de leur salive. Un mâle tendu pourrait connaître une baisse de la production ou de la sensibilité à la testostérone, liées à la surproduction du cortisol[18],[19]. La répartition entre testostérone libre, liée à SHBG et aux autres vecteurs varie fortement selon la méthode utilisée pour quantifier ces composants, et leur interprétation est quelquefois difficile[13]. La testostérone produite par le testicule possède une action sur l’axe hypothalamo-hypophysaire. Cette action est inhibitrice puisqu’elle ralentit l’activité de l’hypothalamus. De plus, les mesures indirectes de la testostérone prénatale suggèrent qu’elle pourrait jouer un rôle organisationnel dans la structuration des connexions neuronales ou la détermination de la morphologie cérébrale de l’embryon[11]. Seul le médecin pourra interpréter les anomalies en fonction des symptômes et des caractéristiques de son patient, et au besoin du résultat d’autres examens.

En effet, ils ont analysé les données de plus de patients souffrant d’un cancer de la prostate localisé (sans métastases) prêts à subir un traitement chirurgical. Ils ont conclu que la moitié des patients ayant un déficit hormonal présentaient une forme agressive de cancer. C’est le médecin généraliste qui sera le premier professionnel de santé à consulter en cas de symptômes ou de simple suspicion de déficit en testostérone. « Celui-ci redirigera ensuite vers un ou plusieurs spécialistes (endocrinologue, sexologue ou urologue) qui prendront en charge ce trouble et pourront déterminer un plan de traitement approprié », poursuit le Dr Lecerf. Il pourrait améliorer l’humeur de patients dépressifs[67] et certaines fonctions cognitives, en rapport pour partie, avec sa transformation en estradiol[68]. Après 30 ans, la plupart des hommes commencent à connaître une baisse progressive de la testostérone.

Si nécessaire, il vous prescrira des analyses de sang pour évaluer notamment votre taux de testostérone. Si votre taux de testostérone s’avère significativement bas et que toutes les causes sous-jacentes de vos symptômes ont été exclues, il pourra envisager de vous aider à augmenter votre taux de testostérone. Quand le dosage de testostérone montre une insuffisance en testostérone chez l’homme (on parle d’hypogonadisme), une supplémentation peut être envisagée afin d’augmenter le taux mais surtout pour corriger les symptômes ayant motivé le dosage de cette hormone. La voie transdermique peut être utilisée (application de crème contenant l’hormone ou patch).

« Il n’a jamais été démontré que son utilisation augmentait le taux de testostérone chez l’Homme », assure-t-elle. Les valeurs normales du taux de testostérone sont fonctions du sexe et de l’âge. Pendant plusieurs décennies, le cancer de la prostate était en lien avec un excès de testostérone. Aujourd’hui, cette croyance traditionnelle est réévaluée par les scientifiques, au regard des connaissances actuelles.

L’objectif est de combler le déficit hormonal, mais surtout de corriger les symptômes ayant entraîné la prescription d’un dosage. Selon cette théorie, les cerveaux des hommes mûrissent plus tard que ceux des femmes et l’hémisphère gauche mûrit plus tard que le droit[48],[49]. La thérapie de remplacement de la testostérone (TRT) est le traitement le plus courant pour augmenter les niveaux de testostérone. Elle consiste à prescrire de la testostérone sous forme de gel, de patch, d’injection ou d’implant et est généralement réservée aux hommes présentant un taux de testostérone très bas en raison de problèmes médicaux tels que l’hypogonadisme. Il s’agit généralement de testostérone enanthate, de testostérone cypionate ou d’autres formes de testostérone synthétique.

Elle circule dans le sang sous deux formes, l’une liée à des protéines de transport (30 à 40 % liée à l’albumine et 60 à 70 % liée à la SHBG ou TeBG et la SBP), l’autre libre. Il semble important de clarifier l’amalgame trop souvent fait entre la libido et le désir, deux éléments pourtant distincts. La libido fait référence au substrat biologique alors que le désir interpelle le substrat psychique. La libido résulterait d’une balance entre des mécanismes excitateurs (dopamine, testostérone, œstrogènes) et inhibiteurs (sérotonine, prolactine, opioïdes) au niveau central.